lundi, septembre 12, 2011

LES OLIVIERS DU NEGUS (Laurent Gaudé)

Nous nous entassons dans la mort avec la même tristesse que dans la vie, serrés les uns contre les autres, laids d'être tous identiques. Comme si, même là, nous avions peur d'être seuls. page 38

A chaque génération qui disparaît, c'est un peu du monde qui sombre. page 43

Nous mourrons tous. En une seconde. Sans avoir eu le temps de nous regarder les uns les autres. page 157

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