Alors que chaque concert lui vaut un triomphe et qu'il s etroucve au sommet de sa gloire, le chef d'orchestre Alexis Kandilis commet une indélicatesse dont les conséquences pourraient être irrémédiables. Sa réputation est ébranlée. Aux déceptions et revers qui s'ensuivent, il oppose la certitude de son destin d'exception. Mais les blessures les plus anciennes se rappellent à son souvenir. L'insidieux leitmotiv des Kindertotenlieder - les chants ses enfants morts- de Gustav Mahler lui chuchote sans répit le secret qu'il voudrait oublier. La chute est inexorable. Seules l'amitié ou la confiance de quelques proches semblent l'ouvrir à une autre approche de son talent, susciter en lui un homme nouveau, dont la personnalité glisserait de la toute- puissance à la compassion, de l'arrogance à l'empathie profonde. Se dessine peut-être une métamorphose....
Roman haletant, parcours exalté, bouleversé par les véhémences de la musique, Prince d'orchestre est aussi une réflexion sur la part d'imprévisible que contient toute existence, sur la force du hasard et les abîmes de la fragilité humaine, sur les souffrances que convoque, apaise, et souvent transcende l'inépuisable fécondité de l'art.
La vie est poussière et le destin vent. ( Francisco Tamayo)
Seul, Pierre était silencieux. Il avait appris à s'ennuyer. .Ces repas, il les connaissait depuis toujours. Mais ils lui étaient étrangers. page 39
Pourquoi l'avait-elle épousé? Elle se souvint du plaisir qu'il lui donnait au lit. Un plaisir affolant....Sans doute aussi, se dit-elle à cet instant, qu'elle l'avait épousé pour le bonheur de l'aider dans sa carrière. Non pas comme une femme se met au service de l'homme qu'elle aime, mais dans le besoin obsédant de faire comme sa m ère et d 'offrir la charité. page 55
L'univers dans lequel il se trouvait n'était pas celui du luxe. C'était le grand faste. page 69
Un autre aspect de ces rencontres émerveillait Alexis par- dessus tout: l'attention que lui portaient ces puissants...Leurs questions sur ses concerts, ses projets, ses compositeurs préférés, ..toute cette curiosité le comblait. page 74
"Il ne faut jamais blesser les hommes, Car un homme blessé est un animal dangereux. Il faut les caresser ou les tuer. "page 78
Je n'ai pas terminé la lecture de ce livre.
La vie est poussière et le destin vent. ( Francisco Tamayo)
Seul, Pierre était silencieux. Il avait appris à s'ennuyer. .Ces repas, il les connaissait depuis toujours. Mais ils lui étaient étrangers. page 39
Pourquoi l'avait-elle épousé? Elle se souvint du plaisir qu'il lui donnait au lit. Un plaisir affolant....Sans doute aussi, se dit-elle à cet instant, qu'elle l'avait épousé pour le bonheur de l'aider dans sa carrière. Non pas comme une femme se met au service de l'homme qu'elle aime, mais dans le besoin obsédant de faire comme sa m ère et d 'offrir la charité. page 55
L'univers dans lequel il se trouvait n'était pas celui du luxe. C'était le grand faste. page 69
Un autre aspect de ces rencontres émerveillait Alexis par- dessus tout: l'attention que lui portaient ces puissants...Leurs questions sur ses concerts, ses projets, ses compositeurs préférés, ..toute cette curiosité le comblait. page 74
"Il ne faut jamais blesser les hommes, Car un homme blessé est un animal dangereux. Il faut les caresser ou les tuer. "page 78
Je n'ai pas terminé la lecture de ce livre.
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