samedi, juin 26, 2021

LA, NOUS SOMMES CHEZ NOUS. Maxim LEO. 2021

 Quatre personnes autour d'une table, et voilà la branche berlinoise des Leo au complet. Les nombreux autres membres de la famille, qui ont fui les nazis dans les années 1930, sont dispersés dans le monde entier. Au fil de ce récit poignant, Maxim Leo  se rend chez eux, en Angleterre, en Israël et en France, et retrace le destin de  ses trois grands-tantes; Hilde, l'actrice devenue millionnaire à Londres; Irmgard, l'étudiante en droit qui s'est convertie au judaïsme avant de prendre un bateau pour Israël et de fonder un kibboutz sur les hauteurs du Golan, et Ilse, la lycéenne qui a survécu en France dans la clandestinité. Il retrace aussi le touchant retour de leurs enfants et petits-enfants à Berlin, dans la patrie perdue de leurs ancêtres. 

A la recherche des maillons manquants de la chaîne des souvenirs familiaux, Maxim Leo découvre un lien qui se joue de toutes les frontières. Avec Là, où nous sommes chez nous, il livre l'histoire inoubliable qu'émouvante de a famille éparpillée. 

L'histoire de ma famille ressemble à la lente course d'un pendule revenant au point de départ. page 13

Irmgard. Elle devait d'abord être sûre de tenir sue ses jambes avant de  s'engager  avec un homme. page 20. Les enfants peuvent aller où ils veulent. Les parents restent là où on a besoin d'eux. page 34

Hilde. Hilde veut devenir comédienne, de préférence dans un cabaret page 35   Fränkel est un intellectuel juif au physique fluet....(Il est médecin et épouse Hilde) A l'aube du 21 mars 1933, on donne des coups à la porte de leur appartement, Kaiserallee. Hilde bondit hors de son lit, court en robe de chambre jusqu'à la porte devant laquelle se trouvent plusieurs hommes en uniforme de la SA qui la poussent brutalement sur le côté. Les sbires traversent le logement, en mettant tout sens dessus dessous.  Ils cherchent des documents, de l'argent et des objets de valeur.....au bout du compte, on emmène Fritz Fränkel  et on le pousse dans le véhicule. Ils le conduisent dans une caserne de la SA...Il y est frappé à coups de fouet et de matraque en caoutchouc, puis interrogé puis de nouveau battu. page 45

Je n'ai pas terminé ce livre. 

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